Une série formée à partir des Chroniques d’Arslân au milieu des années 80 a fait le succès de la saga japonaise. Un essor fut remarqué depuis et le personnage se fraie petit à petit un chemin. Que des belles choses qui ont fait le bonheur de Koei Tecmo.
Que des nouveautés !
De plus grâce à de nouveaux codex, il est maintenant possible de changer d’arme en plein combat. Les joueurs pourront facilement débloquer une poignée d’arcs et de sabres. De plus, une multitude d’histoires peuvent être créées. Notons que chaque épisode du mode histoire de divise en une suite de petites missions pointées régulièrement. Rien avoir avec les rivalités plus stratégiques proposées par Dynasty. Avec moins de cadavres, des retards de quelques secondes et plus de complexités à trouver des cartes puissantes. La franchise a donc misé sur cette collectionnite semblable aux free to Play Nippon pour attirer l’attention des fans de mangas.
Un scénario digne d’un film hollywoodien
L’idée du bon et du mauvais chasseur est aussi valable pour les bons et mauvais Dynasty Warriors. Cette catégorie de jeux nettement plus pléthorique nous pousse à faire un bon tri. Un choix assez simple pour le cas d’Arslan, qui fait partie des moins bonnes adaptations de manga en Musô, depuis la sortie de Kevin le Survivant. Avec un graphisme qui laisse à désirer, en plus des missions ponctuelles guères prenantes, la déception des fans est tout à fait justifiée. On note également le manque de saveur et de contenu, malgré un système de jeu assez moyen. Les enchaînements plaisants à base de changements d’armes à la volée et d’esquives pourraient permettront peut être aux joueurs en rade de jouer quelques heures. A condition de ne pas prendre en compte tout le reste.